Surnom :
Perlette - Bellula - P'tite bulleAge
22 ansGenre
FemmeOrientation sexuelle
PansexuelleDate & lieu de naissance :
Tu es née à Paris, le 10 DécembreNationalité :
Franco-américaineParticularité :
On peut observer une large cicatrice dans ta nuque qui prends la forme d'une étoile et une plus petite sur le côté gauche de ta lèvre.Ce qu'elle pense de la situation à San Francisco :
Tu es inquiète de la situation de ta ville. Consciente des inégalités qui poussent beaucoup à tomber dans le crime, tu aimerais pouvoir empêcher les crimes avant même qu'ils soient commis et offrir un espace sécurisé pour tous.Agence/organisation :
XSuper-Pseudo :
"Bellula Aéris"Spécialité :
Tu es une spécialiste de l'arrestation des criminels violents. Tu t'occupes de mettre hors d'états de nuire ceux qui s'en prennent aux faibles et innocents en les enfermant dans des bulles. Tu adoptes un style de combat au corps à corps.Taille & Poids
Un petit mètre soixante neuf pour cinquante six kilosMorphologie
Bien que fine, tu es une jeune femme athlétique à la musculature dessinée. Tes bicepts sont ta fierté.Visage
Ton fameux minois ! Parlons-en tient ! Tes traits fins, délicats, hérités de ta mère. Un petit nez, qui se retroussent dans tes éclats de rire. Des lèvres rosées, légèrement marquées d'une petite cicatrice sur le côté gauche.Cheveux
Ta chevelure à la coupe asymétrique, dont les mèches rebelles longent doucement ta mâchoire avant de tomber sur tes épaules. Ce blond qui, avec la couleur vie et profonde de ton regard, t’orne d’or. Tu as les cheveux de ton père. Un peu hirsute sur les bouts.Yeux
Tu as les yeux dorés, comme deux éclats d'ambre, brillants de détermination, s'illuminant au moindre rayon de soleil. De très jolis yeux qui se plissent quand tu ris, crépitent de malice.Style vestimentaire:
Tu aimes porter des vêtements confortables et stylés. Un genre ? Non, tu aimes le féminin, le masculin, le grunge ou le classique. Ouais en fait, ça dépends souvent de ton humeur. Mais les talons hauts ? Non, ce n'est pas pour toi. Il te faut des chaussures qui te permettent de courir. De réagir vite. Tu portes néanmoins toujours des boucles d'oreilles.Particularité
Une large cicatrice dans la nuque, en forme d'étoile, est assez visible. On remarque aussi que ta peau a parfois un effet iridescent, comme la surface d'une bulle.Alter/Capacités
« Tu crois qu’elle prendra de qui Torben ? Moi je l’imagine bien actrice, comme sa maman ~ »
Son index s’écrase gentiment sur le bout de ton nez, t’arrachant un gazouillis adorable face auquel elle ne peut que fondre, la voix se faisant plus mielleuse encore, face au visage de son enfant.
« Awwn mais oui ma petite Perlette, tu seras une super star ! Comme moi ! Je t’apprendrais à jouer la comédie tu verras ! ~ »
Un pas plus lourd qui résonne, s’approche. Une ombre massive qui se dessine au-dessus de ton berceau qui se balance. Un sourire, plus large, plus brute. Le visage, barré d’une large cicatrice en forme d’éclair, n’est que tendresse alors que deux mains larges et rugueuses te soulèvent et que tes rires se font plus grands, plus joyeux. La voix qui résonne est rauque, et pourtant tendre. Les mots sont chaleureux, comme son étreinte, alors que tu t’envoles un peu plus haut dans le ciel bleu, sécurisé par l’étreinte de l’homme.
« Et moi je pense qu’elle sera comme son papa ! Une future héroïne ! Regarde-moi ce regard de guerrière ! Pas vrai ma petite tempête chérie ? »
Ses lèvres embrassent tes joues, encore et encore, tendrement, jusqu’à rougir, les pauvres malheureuses. Ta mère se lève, ricane, se joint à l’étreinte, tendrement, jalouse de ne recevoir aucun des précieux baisers de son époux. Et les voilà parti, les deux amoureux. Ensemble, ils rient, te regardent avec tout l’amour du monde, toi l’enfant qu’ils ont tant eu de mal à avoir. Leur trésor. Leur perle. Le souvenir est doux, précieux. Mais tous les bons moments ont une fin. Un accident violent, qui a privé de ses rêves ton père. Un combat dans lequel il avait perdu l’usage de son œil et la mobilité partielle de ses jambes. La fin de sa carrière. Le début de sa dépression. Tu n’avais que cinq ans quand tes parents ont divorcé. Tu te souviens encore des cris et des disputes alors que ton père tentait d’endormir la douleur dans les cachets. Le couple n’a pas tenu et ... Ta mère n’a pas voulu de toi. En fait, tu ne lui en a jamais voulu. Tu ressemblais trop à ton père. Comme un rappel permanent de l’homme qu’elle avait un jour aimé. Alors tu es resté avec lui. Vous avez quitté Paris pour les États-Unis, le pays d’origine de ton père. Un nouveau départ pour votre petite famille. Lui a décidé de reprendre le restaurant de ses parents. Il avait toujours adoré cuisiné. Ça l’aidait à s’apaiser. À contrôler toutes les émotions le dévorant de l’intérieur. Toi ? Oh, ta vie a continué. Tu as découvert une nouvelle école et ... c’était difficile de se faire des amis. Tu étais l’étrangère et les parents, ça parle. Pourtant, c’est là que tu l’as rencontré. Vous étiez voisins et vous êtes devenus meilleurs amis. Inséparables. Sirius. Ton rayon de soleil. Il a toujours été là. Gentil, tendre, doux. Vous étiez inséparables ! Tu en as passé du temps chez lui. Ton père travaillait dur. Alors il te déposait chez tes voisins avec un paquet de cookies fraichement cuisinés et vous passiez touuuute la journée ensemble ! Sirius peignait et toi, tu le regardais avec admiration. Tu le trouvais doué ! Toi ? Oh, tu étais nulle pour ça mais en grandissant, tu as commencé à t’intéresser à la photographie. Ça t’a permis d’exprimer des émotions enfouies en toi et de voir la beauté qui t’entoure. Sirius t’a aussi appris à danser. Vous aviez quoi ... huit ans ? Des petits pas maladroits, vos mains jointent, la musique résonnant doucement dans la pièce alors que ses parents vous observaient, attendris !
C’était une période paisible de ta vie. Tout n’était pas parfait, mais tu étais heureuse. Ton père a toujours tout fait pour toi et tu le sais. Il ne se plaignait jamais, et il avait même arrêté de se shooter aux anti-douleurs. Il avait pris un nouveau départ et avançait sur sa route, fièrement. Et encore une fois, la vie s’était montrée cruelle en retour. Tu avais quinze ans à l’époque. Le restaurant de ton père avait été victime d’une attaque. Vous avez tout perdu. Le bâtiment est à moitié parti dans les flammes et avec, vos économies. C’était un petit restaurant de quartier, aimé de tous, avec de la bonne cuisine mais vous étiez loin d’être riches. Et l’assurance ne prit presque rien en compte. Encore une fois, on avait arraché le fruit de tout ses efforts à ton père. Et cette fois, il ne s’en est pas relevé. Pourtant, il a essayé ! Mais les dettes se sont accumulées, vite. Toi, tu as pris un petit travail après l’école. Tu faisais du service dans une petite boulangerie. Lui, il s’était trouvé un poste pour faire la plonge. Un job pourri, à peine payé, pour tenter de survivre. Il te répétait de ne pas commettre les mêmes erreurs que lui. De ne pas devenir un héro et de te trouver un travail stable, sans danger. Toi, tu aimais bien l’idée de reprendre le flambeau mais aborder le sujet avec lui c’était ... risqué. Puis il a craqué. Torben, ancien héros, a sombré dans le crime. Il avait besoin d’argents et plus rien ne marchait. Il voulait un bel avenir pour toi. Alors il a voulu cambrioler des pauvres gens. Un simple coups, vite fait bien fait. Pas de blessé. Mais rien ne se passe jamais comme prévu. Tout a mal tourné. Il s’est introduit dans cette maison, sensée être vide. L’époux est revenu plus tôt. Ils ont paniqué et la minute d’après, il poussait sa victime dans les escaliers. L’homme est tombé dans le coma. Ton père ? Il a été condamné. 20 ans de prison. Une peine juste mais ... Tu as toujours trouvé cette conclusion amère. Finalement, ton père avait été pris dans l’engrenage. Avait-il vraiment une chance de s’en sortir ? Le système était-il vraiment juste ? Personne ne naissait criminel. C’était toujours plus compliqué. Nuancé. Tu voulais pouvoir faire quelque chose mais ... Tu étais faible. Alors tu as travaillé. Dur. Tu as décidé d’aller contre le vœu de ton père et de devenir une héroïne professionnelle. Tu t’es lancé, dès que tu as été majeure. Une école ? Toi, fille de criminel, de héro déchu ? Ah. Il n’y avait pas de place pour des gens comme toi. Tu as du tout apprendre seule. Tu as vécu avec le peu d’argent que ta mère avait accepté de t’envoyer pour te permettre de survivre. Tu sais que tu as eu de la chance. Ça aurait pu être pire. Mais parfois, tu envies ceux qui ont pu rejoindre la Justice University. Peut-être que tu aurais pu rester enfant un peu plus longtemps grâce à ça ... ?
Profil du joueur
Age : 22 ansFeat. : Lumine - Genshin Impact
Alter : Bubble maniac
Type d'Alter : Activation
Messages : 2
Points d'Expérience : 0
Date d'inscription : 26/08/2023