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Surnom :
Cindy, Kaiju, PrincesseAge :
18 ansGenre :
FemmeOrientation sexuelle
BiDate & lieu de naissance :
21/06/2002 - AllemagneNationalité :
AllemandeParticularité :
Elle a des ailes et une queue ! et des cornes.Ce qu'il.elle pense de la situation à San Francisco :
Pas son problème, vu que justement elle fait partie du problème.Super-Pseudo :
SusanOwOOrganisation criminelle :
Juste une étrange familleQuel est son but en tant que vilain.e ?
Elle ne pense pas si loin, les questions compliqués elle les laisse à ses “parents”. Elle, temps qu’elle a ce qu’elle veut temps qu’elle veut.Taille & Poids
La dragonne était grande ! Très grande ! Un énorme !.. 1m55. Pour une quarantaine et demi de kilos.Morphologie
C’est plutôt un I en faite, une brindille suffisamment légère pour que ses ailes lui permette de planer, ou qu’elle puisse se suspendre avec sa queue.Visage
Un visage rond et enfantin, aux traits fins avec un tout petit nez. Elle serait un parfait modèle pour poupée de petite fille, si elle n’avait pas des dents particulièrement grandes, et bestiales, tant qu’elle pourrait effrayer un requin si elle souriait. Cela causait aussi du coup une commissure des lèvres particulièrement grande, lui donnant un sourire d’une oreille à l’autre.Cheveux
Qui n’aime pas les longs cheveux ? Et bien, cinderella en avait qui atteignait ses chevilles si elle ne les bouclaient pas. De longs et soigneux cheveux rouges et roses, contrastant avec ses cornes bouclées noires et violettes.Yeux
Grands, de grands yeux bleus avec la pupille d’un chat.Style vestimentaire
Robes, rubans, nœuds et ballerines. Est-ce que vous croyez qu’être à Los Angeles ou San Francisco l’empêcherait de s’habiller comme une princesse européenne de la renaissance ? Shame on you ! Elle n'en avait rien à foutre de la mode ou des jeans à trou. C’est une princesse, elle s’habillera telle qu’elle.Particularité
Vous ai-je déjà dit qu’elle avait des traits de dragonne ? Non ? et bien je le dis ici. Elle a des crocs, une bouche de reptile, des yeux de chats, des cornes bouclées, des ailes et une queue. Des contes de fées, elle ressemblait autant aux princesses qu’aux dragons.Alter/Capacités
Mais tu n’es pas qu’une princesse, tu es également le dragon gardant ta tour d’ivoire. Une bête impitoyable et grossière, violente et têtue. Le pire que tu puisses faire en termes de contraste, l’ultime défi pour quiconque s’armerait à faire tomber tes défenses. Tu donnais cher de ta personne, après tout, tu es une princesse, et pour mériter sa princesse, le chevalier doit souvent braver les plus grandes épreuves.
Tu es donc impulsive, dissipée, avare. Le monde pourrait donner toutes ses richesses dans le creux de ta main que tu ne serais satisfaite, et c’est bien ainsi que tu as construit cette défense, ce dragon. Insatiable, invincible, charmant malgré les défauts qui s'accumulent comme une pile d’or, parce qu’il les revêtait la tête haute.
Car tu es une conteuse. Les désillusions que les autres t’accusent d’avoir son des contes et des récits épiques, un verre à travers lequel la vie te semble plus supportable, plus facile à aimer. Tu vois les voitures comme des calèches, les policiers comme des gardes, les héros comme des chevaliers, les chanteurs comme des bardes. Tu vies milles ans en arrière, avec pourtant toute l’aisance d’une jeune femme de ton âge avec la technologie de ton temps, parce que tu ne perds pas de temps à t’attarder sur ces paradoxes. Ton histoire, tes règles.
La nouvelle Don Quichotte, voilà ce qu’ils devraient t’appeler. Chaque jour est une nouvelle histoire dans un espace familier, un vol devient un braquage, un braquage devient la libération d’un artéfact digne du graal, une confrontation avec la police devient le récit épique d’un dragon s’enfuyant avec l’or du royaume. Ces histoires, tu les vivais, mais également tu les contais à tous ceux voulant les entendre. Les histoires de la dragonne Susanowo.
Tu en cousais les costumes avec joie, ton plus grand talent tu te disais, tu mettais en scène les reconstitutions dans un décor que tu avais monté à partir de rien, et tu filmais tout cela pour les publier partout où tu le pouvais. Disons le, tu avais fait de ton délire une carrière. Sur un compte, tu filmais et commentais tes heures de couture et de créations de décor, sur d’autres, tu présentais l’aboutissement de tes heures de travail, et tu adorais chaque “j’aime” et commentaire.
Les ruines de ta psychée étaient néanmoins fragiles, s’il était facile de te rendre heureuse en suivant ton délire, le contester t’enrageait et t’attristait bien plus aisément. Tu devenais folle, hystérique même. Tu ne blessais pas qu’autrui, mais toi également. Tu n’allais pas bien, et tu ne pouvais pas aller mieux.
Tes épisodes et de manière générale ton attitude ne facilitaient pas ta vie sociale, mais grâce à un miracle, tu avais trouvé une famille aimante, et que tu aimais également. De tout ton cœur, que tu sois un dragon ou une princesse. Tu n’étais pas toujours sûre qu’ils te comprenaient, mais ils te laissaient faire de ta démence une oeuvre, de filmer ou de coudre des jours et des nuits.
Tu étais un peu égocentrique, si tu n’étais pas la princesse de chaque jeu, tu n’étais pas intéressé et tu le faisais savoir. Mais on ne pouvait pas reprocher ce comportement à une enfant de ton âge, même si tu éclipsais par la même occasion.
Non ce n’était pas là où les problèmes avaient commencé. Tout était vraiment parti en vrille lorsqu’un bon matin, tu t’étais mis à hurler dans la salle de bain. Ah ça pour sûr tu avais alerté l’orphelinat entier. Tu étais en sang, des cornes ayant percé les côtés de ta tête, ta bouche ayant débordé sur tes joues comme une bête, et tu avais d’ailleurs les dents qui allaient avec. Tu avais aussi des ailes et une queue maintenant, mais tu n’étais pas aussi horrifié par ces nouveaux appendices que par ce qui était arrivé à ton visage.
C’était ce jour que tout le monde a appris que tu te prenais peut-être un peu trop pour une vraie princesse, parce que devenir le pire ennemi d’une princesse, un dragon, avait mis en lumière jusqu’à où tu étais prête à aller pour ressembler à une princesse. Si tu l’aurais pu, tu aurais arraché ces cornes aussitôt.
Mais cela ne s’est pas fait. Et tu les avais fait payer très, très longtemps. Tu étais simplement atroce à vivre depuis que ton monde s’est retourné sur lui même. Tu agissais en ange car tu étais persuadé d’être princesse de conte, de ton conte, mais maintenant ce n’était plus le cas, tu étais le monstre de l’histoire, l’antagoniste. Ton code de conduite ne suivait plus ta fantaisie, et tu le corrigeais instantanément ou presque.
Ton nouveau caractère te valait d’être isolée de tes anciens amis, mais tu n’es pas plus inquiétée que cela. Un dragon n’avait pas besoin de compagnie, elle pouvait passer son temps à protéger sa vraie nature, comme une princesse maudite en quelque sorte. Elle était satisfaite de s’en tenir à sa fantaisie.
Enfin, pas vraiment ! Toute dragonne que tu étais, tu ne te contentais pas de garder la princesse bien en sécurité au fond de toi, tu devais conter toutes les histoires que tu rêvais, les amener dans le monde réel. Problème, tu n’avais pas d’argent, et ta planque était minuscule. Ta planque, pas ta chambre, tu ne retournais presque plus à l’orphelinat déjà.
Mais tu étais une maline, n’est-ce pas ? Tu avais un secret que peu, presque personne d’ailleurs, connaissait. Tout le monde assumait que tes pouvoirs ne comportait que cette apparence de dragon, et ils auraient raison en temps normal, mais comme ta soeur, il y avait plus derrière.
Tu avais des muscles spéciaux, pouvant faire tourner tout ce que tu touchais comme une toupie, ou une petite tornade, dépendant de la force et de la prise que tu avais. Tu pouvais faire tourner les serrures de presque tout d’un toucher de doigt.
Et sur quoi toi, dragonne allemande des tornades, utilisait son talent ? Sur des voitures manuelles de collection, que tu revendais au noir pour financer l’aménagement de ta tannière. Pas seulement pour la décoration d’ailleurs, pour les machines de couture, le matériel vidéo, les tissus, rubans, cuire et même métaux nécessaires pour les broches. Tout partait dans ton imagination
Tu avais commencé jeune, si bien qu’à l’aube de tes 16 ans, tu as volé la plus belle voiture jamais vue ! Sans caméra en vue, c’était le cadeau des cieux ! Tu l’avais vendu pour tant que tu avais réussi à finir d’acheter tout ce qu’il te manquait pour ta pièce ! La robe de cendrillon était cousue, les ballerines de verre commandées, tu avais tout sifflé en moins d’une heure, mais tu étais des plus heureuses.
Jusqu’au lendemain. Tu avais été retrouvé par les propriétaires de cette voiture de rêve, et tu ne l’avais réalisé qu’une fois qu’ils t’avaient adopté. C’était cruel, tu te disais. Tu avais perdu tout espoir d’être adopté un jour, et ils en ont profité pour te faire payer.
Tu les détestais, particulièrement la femme, un peu moins sont conjoints, mais il était complice ! Ils te forcèrent à quitter ton pays et désinstaller toute la scène que tu avais créée, et elle n’arrêtait pas de te sanctionner à toutes tes actions !
Au début, tu restais surtout dans ta nouvelle chambre. Tu ne les aimais pas, et tu le faisais bien entendre comme la fière dragonne que tu étais ! En plus, tu devais reprendre l’installation de ta scène depuis le début ! Ça te gardait occupé, et te donnait une bonne raison d’ignorer les beuglements de ta nouvelle mère.
Non, celui qui avait commencé à pénétrer ta forteresse, c'était l’homme, celui que tu pouvais te contenter d’ignorer jusque là. Il était persistant, Charle Weisz, il s'appelait, tu crois. Parfois à simplement te regarder faire tes installations, où à se placer derrière la caméra durant tes vlogs. Lorsqu'il posait des questions, tu avais bien du mal à calmer ta passion pour ne pas lui répondre.
Sa présence t’était de moins en moins désagréable, et c’était pas forcément pour le mieux, car tu ne pouvais plus être autant antagoniste avec la femme, Sayuri Maeda ou quelque chose comme ça, car il servait de tampon.
Ce n’était pas ton envie de lui cracher tout le venin que tu avais à la gorge qui te manquait pourtant. Surtout qu’elle était insistante à vouloir découvrir comment tu avais pu voler leur voiture, même un mois plus tard.
Tu en avais marre d’elle, de ses remarques, de toujours devoir marcher sur des œufs autour d’elle au risque de se faire réprimander. Tu craquais, et claquait les mains contre la table pour lui montrer, la faisant pivoter contre le mur. Et tu ne t’étais pas arrêté là. La tension avait érodé ton mental, et tu étais complètement déconnecté de ce monde pour les prochaines demi-heures.
Quand tu étais revenu à toi, et bien, la table n’était plus au sol, déjà, et tu étais couverte de petites égratignures. L'œuvre de tes propres griffes sûrement. Tu étais seule dans la pièce avec cette femme que tu détestais. Elle t’expliquais que Charle était parti chercher du désinfectant. Tu ne sentais pas trop la douleur, mais tes griffes ont dû rentrer plus profondément dans tes bras que tu ne le pensais. Ta robe était foutu, ça c’était sûr.
Sayuri attendait avec une bassine d’eau, légèrement chaude tu jugeais, et approchait lentement avec. Tu ne réagissais pas, tu étais trop fatigué, si elle voulait t’ébouillanter, qu’elle le fasse. Tu fermais les yeux, te préparant, mais tu ne sentais qu’une serviette chaude venant nettoyer tes bras.
Au retour du conjoint, tu n’avais pas bouger de ta place, si ce n’était que tu n’étais plus couverte de ton sang et que tu avais enfilé une robe propre.
Tu t’attendais à d’énièmes punition ou réprimande de la part de la femme, mais rien. Si quelque chose, elle semblait presque plus adoucit. Tu ne t’en plaignais pas, tu étais toujours lessivé les jours suivant ce genre d’épisodes.
Deux ans plus tard, tes hobbies avaient explosé. Tu avais maintenant une base de fan solide, et tu pouvais toucher plus de monde pour tes scène de théâtre amateurs. Mais il fallait toujours financer tout ça, et dans un étrange coup du sort, ce sera avec tes deux tuteurs. Le couple au fil du temps avait révélé quelques de leurs secrets à toi, dont leur travail si particulier, dans l’espoir que tu en fasses partie.
Tes talents ne seraient pas perdus dans des vols à plus grande échelle, c’était certain. Contrairement à eux, tu ne le faisais pas pour l’adrénaline, simplement pour soutenir ta passion. Cela ne te dérangeait pas, d’une certaine manière. Du moment que tu pouvais continuer à apprécier ta nouvelle vie.
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Profil du joueur
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